Non, non, je ne me suis pas trompée dans le titre : il ne s'agit pas des pinsons des arbres, mais bien de mon petit arbre à pinsons, celui où, quotidiennement, en toute saison, ces joyeux oiseaux des jardins peu farouches viennent manifester leur présence à la fenêtre de mon arrière-cuisine ! Surtout en hiver où ils trouvent moins à manger en abondance dans la nature un peu endormie, entre les larves ou autres petites bestioles qui pullulent dans l'herbe. Tous les jours de la saison froide, je les approvisionne en graines et boules de graisse que je jette par terre : j'ai renoncé à suspendre des filets dans les arbres : les corbeaux les détachaient pour les emporter dans leur bec !!!
J'aime bien observer les oiseaux, il y a une vingtaine d'espèces qui peuplent mes jardins. Les pinsons ont pris l'habitude de se rassembler sur ce petit lilas en attendant que le champ soit libre (après la sortie des chats !) pour descendre picorer tranquillement.
J'aime bien observer les oiseaux, il y a une vingtaine d'espèces qui peuplent mes jardins. Les pinsons ont pris l'habitude de se rassembler sur ce petit lilas en attendant que le champ soit libre (après la sortie des chats !) pour descendre picorer tranquillement.
Le 1er mars dernier, nous avons eu une journée de neige dans ma Bretagne, je ne m'en suis pas plainte, si ce n'est du fait qu'elle était trop éphémère pour me laisser le temps d'aller à la chasse aux images : mes rochers préférés devaient être très jolis coiffés d'une moumoute blanche, ou alors c'est ma gourmandise notoire qui me fait penser à eux dès qu'il neige car, ainsi, ils me rappellent inévitablement ce dessert que j'adore : le mont-blanc, une délicieuse pâtisserie qui avait fait la renommée de l'ancienne maison Rumpelmayer (Angelina, la maison mère) à Paris. Accompagné bien sûr d'un chocolat chaud, celui qui a fait la réputation de la maison. C'était un plaisir d'hiver que je m'offrais rituellement les après-midis, non pas seulement pour satisfaire mon palais, mais j'aimais bien aussi les lieux avec son cadre Belle-Epoque.
La neige, je ne l'ai pas vue depuis que j'habite ici en permanence, c'est-à-dire bientôt trois ans. Elle me manque un peu, et la capitale silencieuse et enveloppée dans son manteau blanc aussi. Les photographes ont dû s'y régaler dernièrement ! De là à en faire tout un fromage (euh... j'ai beaucoup de tics de langage culinaires, hein ?), j'imagine la tête de nos amis canadiens quand ils entendent nos médias parler de nos épisodes neigeux... en hiver !
J'ai photographié mes oiseaux, comme d'habitude en toute saison, mais, la semaine dernière, je n'ai eu droit qu'à la valse des pinsons grappillant les dernières graines sur le sol avant qu'il ne fût totalement recouvert par la neige. Pas assez cependant pour tenir plus d'une journée ou me laisser le temps de sortir. En fait, non, je n'avais pas du tout envie de mettre le nez dehors, ces petits oiseaux m'ayant laissé entendre qu'il faisait très, très froid, ouaf, ouaf !!!
La neige, je ne l'ai pas vue depuis que j'habite ici en permanence, c'est-à-dire bientôt trois ans. Elle me manque un peu, et la capitale silencieuse et enveloppée dans son manteau blanc aussi. Les photographes ont dû s'y régaler dernièrement ! De là à en faire tout un fromage (euh... j'ai beaucoup de tics de langage culinaires, hein ?), j'imagine la tête de nos amis canadiens quand ils entendent nos médias parler de nos épisodes neigeux... en hiver !
J'ai photographié mes oiseaux, comme d'habitude en toute saison, mais, la semaine dernière, je n'ai eu droit qu'à la valse des pinsons grappillant les dernières graines sur le sol avant qu'il ne fût totalement recouvert par la neige. Pas assez cependant pour tenir plus d'une journée ou me laisser le temps de sortir. En fait, non, je n'avais pas du tout envie de mettre le nez dehors, ces petits oiseaux m'ayant laissé entendre qu'il faisait très, très froid, ouaf, ouaf !!!
Un couple de pinsons des arbres : le mâle est facilement reconnaissable à son poitrail plus coloré, presque rouge.
Et, ci-dessous, pour ceux qui sont en tricothérapie (très à la mode, paraît-il, pour être ultra zen... à condition quand même de savoir tricoter un peu, sinon le remède est pire que le mal, crise de nerfs assurée quand on perd les mailles à cause du chat qui joue avec le bout des aiguilles ou les pelotes !), je propose ce joli point pour un pull d'hiver, un mélange de côtes anglaises et de point de sable, ou encore autres points en relief !
Hello, c'est presque le jardin d'Eden mais en hiver , heureusement que tu n'as pas des vols d'étourneaux, un vrai désastre. J'ai eu une fois ma voiture sous un de ces vols... malheur , une semaine pour nettoyer la carrosserie.
RépondreSupprimerBise et à plus
Michel
http://www.lejdd.fr/Societe/Sciences/L-enigme-des-nuees-d-etourneaux-742926
Bjr! C'est magnifique la Bretagne! J'adore le Finistère.
RépondreSupprimerJ'ai fais des confitures du fruit orange de la passiflora(c'est comme ça que j'ai trouvé votre commentaire qui m'a bien plu 😉) mais je n'ai pas osé mettre les grains et je les ai donc conservé suite à votre commentaire...
Belle continuation à tous...
Marie 49